Pendant l'été 1965, André Malraux est envoyé à Pékin par le Géneral De Gaulle, ancien camarade des révolutionnaires chinois, pour consolider et ennoblir les liens établis l'année précédente entre la France et la Chine. Au cours de ce voyage l'écrivain rencontre à nouveau le président chinois Mao et, après une série d'entretiens avec des dirigeants chinois, transforme les relations officielles entre les deux républiques en une amitié entre deux grands hommes. Deux ans plus tard, Antimémoires rend compte de ce voyage. L'objectif de notre communication sera de confronter le parallélisme entre l'évocation poétique du romancier et les paroles et gestes du ministre français des Affaires culturelles et d'analyser tous le détails de cet intéressant parcours révélé dans Antimémoires.
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